Les inclusions et oxydes dans l’aluminium
L’inclusion et l’intégration. Bons thèmes sociétaux, ça ! Mais pour les alliages d’aluminium, mieux vaut éviter les inclusions.
L’inclusion et l’intégration. Bons thèmes sociétaux, ça ! Mais pour les alliages d’aluminium, mieux vaut éviter les inclusions.
Vous n’êtes pas très fin. En métallurgie s’entend ! Il est urgent alors de mettre à jour vos connaissances sur l’affinage du grain.
Vous êtes réfractaire aux changements de température. Pas d’inquiétude, vous n’êtes pas le seul. Le réfractaire d’un four l’est lui aussi …. réfractaire.
Vous cherchez une tenue bien chaude ? Doper votre doudoune avec du zirconium ou des dispersoïdes. Si vous êtes métallurgistes bien entendu ! Sinon, allez aux Galeries Lafayette.
A trop se précipiter, on risque la dislocation. C’est justement ce que se disent les alliages d’aluminium qui prennent leur temps lors du traitement thermique.
Le dégazage sauvage d’un pétrolier, c’est répréhensible et ça pollue. A l’inverse, dégazer un bain d’aluminium liquide, c’est très conseillé et ça le rend apte à fabriquer des pièces saines.
Cet article sur la modification n’a pas subi de … modifications. Le métallonaute y a veillé. Sauf s’il se passe des choses derrière son dos. Auquel cas, le métallonaute pourrait modifier son comportement.
Les épées des samouraïs possèdent une structure métallurgique complexe qui résulte d’un savoir-faire traditionnel extrêmement maîtrisé. Et cela valait vraiment la peine que l’on vous en parle.
Le comté s’améliore avec la durée d’affinage. A l’inverse, l’affinage du grain des alliages de bronze disparait après 30 minutes de maintien à l’état liquide. Et on ne vas pas en faire tout un fromage, les gars !
Vous avez lu sur « WoodBlog » un article sur le traitement contre les termites… Pour vos pièces en aluminium AlSi7Mg, lisez notre article sur l’effet du traitement thermique.
L’alloy design, kaiskeussai ? Tout simplement la conception d’un nouvel alliage par un logiciel de calcul. Pouvoir se prendre pour Nicolas Flamel version 2.0, c’est maintenant !
On vous a appris à l’école que l’âge du cuivre est une période de la protohistoire. Ben non… L’âge du cuivre, c’est aujourd’hui et nous vous disons pourquoi. Étonnant, non ?
Les oxydes et peaux d’alumine sont peu détectables et néfastes : ils favorisent l’initiation de fissures ! Bonne nouvelle : comprendre leurs mécanismes d’apparition est possible. On les tient !